La coopération israélo-saoudienne dans la guerre à Gaza depuis le 7 octobre a été révélée.
La coopération israélo-saoudienne dans la guerre à Gaza
Les observateurs estiment que la coopération israélo-saoudienne dans la guerre à Gaza a eu lieu depuis le 7 octobre.
Bien qu’après le 7 octobre, la plupart des nations et des gouvernements de la région ont condamné l’attaque israélienne dans la bande de Gaza et ont exprimé leur solidarité avec la nation palestinienne, on assiste à la coopération Israël-Arabie saoudite dans la guerre à Gaza.
L’intervention américaine dans le génocide palestinien
Conformément à ce mépris pour le prince héritier saoudien, il a participé au festival des jeux informatiques au cours de la première semaine de cette guerre désastreuse, puis a continué à participer à d’autres festivals, qui ont fait l’objet de nombreuses critiques nationales et régionales.
Pendant près de deux mois de génocide et de meurtres de Palestiniens dans la bande de Gaza, le ministère des Affaires étrangères de l’Arabie saoudite s’est limité à publier seulement quelques déclarations, sans prendre en compte l’ampleur de la tragédie qui se déroulait.
Accueillir le juif Gerard Kushner lors du sommet sur l’investissement en Arabie Saoudite, qui a eu lieu la deuxième semaine de la guerre contre la Gaza, a pratiquement démontré la coopération Israël-Arabie saoudite dans la guerre à Gaza.
Après cette réunion, les médias semi-officiels saoudiens affiliés à Mohammed ben Salmane ont organisé des campagnes de solidarité avec Israël et de condamnation des Palestiniens, notamment de la bande de Gaza, qui se poursuivent encore aujourd’hui.
Alors que le monde entier de toutes races, couleurs et ethnies, en particulier les Juifs américains et d’autres parties du monde, a condamné les crimes d’Israël dans la bande de Gaza, Mohammed ben Salmane était en train d’organiser une fête de chien, une réalité amère et douloureuse.
Le fait que les médias affiliés à Mohammed ben Salmane continuent de répandre leur haine envers les Arabes et la cause palestinienne n’est pas un discours simple et passager, mais trouve ses racines dans les régimes autoritaires.
Après l’échec de Mohammed ben Salmane dans la guerre contre les civils yéménites, le deuxième champ de défaite sera sans aucun doute la bande de Gaza.
Même, on peut dire que la plus grande défaite de ben Salmane n’a pas eu lieu au Yémen, mais dans la bande de Gaza, celui qui a essaie de normaliser les relations avec Israël, d’ouvrir de nombreuses coopérations et de mettre en œuvre de nombreux projets.
Mohammed ben Salmane espérait achever immédiatement le processus de normalisation avec Israël avant la fin de la présidence de Biden et obtenir des concessions telles que la garantie de la sécurité par les États-Unis et la mise en œuvre de son plan nucléaire.