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Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza sont inhumains.
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza. Aucune guerre dans l’histoire moderne n’a vu autant de journalistes tués et blessés que la récente guerre israélienne contre la bande de Gaza, qui a débuté le 7 octobre.
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza. Dans cette guerre en cours, les journalistes sont exposés à un véritable et horrible massacre perpétré par Israël.
Gaza : le nombre des journalistes tués s’élève à 96 depuis le début de la guerre
Pour exprimer l’ampleur des crimes auxquels les journalistes de la bande de Gaza sont exposés par l’armée israélienne, l’organisation UNESCO affiliée aux Nations Unies a décerné les prix de la liberté des médias et de la liberté de la presse aux journalistes palestiniens qui ont couvert l’agression israélienne dans le Bande de Gaza.
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza : les journalistes tués
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza. En enregistrant la mort de 142 journalistes au cours des sept mois qui ont suivi la guerre israélienne contre la région, la bande de Gaza a enregistré le plus grand nombre de violations de la liberté de la presse et de la liberté des médias au monde.
37 de ces journalistes ont été tués au cours du premier mois de la guerre, ce qui fait de ce mois, le plus sanglant enregistré pour les journalistes par le Comité international pour la protection des journalistes, qui a commencé son travail en 1992 et a depuis lors commencé à enregistrer les décès de journalistes dans les événements divers, y compris les guerres.
Selon le Comité international pour la protection des journalistes, ce chiffre est bien supérieur au nombre de journalistes tués au cours du premier mois de la guerre en Ukraine, qui atteignait dix journalistes.
La dernière opération visant des journalistes a eu lieu mardi dernier, lorsque des avions militaires israéliens ont bombardé une maison du camp de Nusirat, au centre de la bande de Gaza, tuant Salem Abu Tayor, reporteur d’al-Quds al-Youm, et son fils Hamza.
Outre les assassins des journalistes, un grand nombre d’eux ont également été blessés alors qu’ils couvraient l’actualité sur le terrain dans la bande de Gaza, certains ont perdu des parties de leur corps et beaucoup sont encore soignés dans les hôpitaux de la bande de Gaza et en dehors.
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza : Cibler les domiciles et les familles des journalistes
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza. Au cours des sept derniers mois, Israël ne s’est pas limité à s’en prendre aux journalistes, mais leurs maisons et leurs familles ont également été la cible des attaques de ce régime.
Des dizaines de maisons de journalistes ont été visées par des avions de combat israéliens, ce qui a fait des dizaines de morts et de blessés des familles des journalistes.
L’exemple le plus évident de la manière dont Israël s’en prend aux journalistes et tente de nuire à eux, à leurs familles est sans aucun doute l’attaque de ce régime.
Il y a quelques mois, contre la famille de « Wael Dahdouh », reporter de la chaîne qatarie Al Jazeera à Gaza, au cours Les combattants israéliens ont délibérément frappé la famille de Dahdouh à deux reprises, tuant ainsi sa femme et certains de ses enfants.
Un crime que les organisations de défense des droits de l’homme ont reconnu comme une violation de l’immunité des journalistes et une vengeance contre les journalistes à Gaza.
L’agression d’Israël contre les journalistes ne s’est pas arrêtée là, mais ce régime a même attaqué des institutions et des centres de presse, des bureaux de journalistes et leur équipement.
Une source bien informée dans ce domaine souligne que de nombreux véhicules spéciaux destinés aux journalistes, notamment des véhicules de diffusion télévisée appartenant à diverses chaînes de télévision de la bande de Gaza, ont été attaqués par Israël et complètement détruits.
Selon la source, au moins 10 véhicules d’équipements de diffusion télévisée appartenant à des réseaux de télévision internationaux et à des fournisseurs de services médiatiques, en particulier des véhicules stationnés à l’hôpital al-Shafa à Gaza, ont été complètement détruits.
Outre les bombardements aériens des chars et bulldozers israéliens lors du siège et de l’attaque de l’hôpital Al-Shifa en novembre et mars derniers, ces véhicules ont été attaqués et complètement détruits.
En outre, en ciblant les bâtiments et les institutions médiatiques actives dans ce domaine, soit en les incendiant, soit en les bombardant, les avions militaires israéliens ont détruit un grand nombre de studios de télévision et de radio dans la bande de Gaza.
Ce problème est particulièrement évident dans l’attaque au sol de l’armée israélienne au nord de la bande de Gaza, où sont concentrés la plupart des médias de la ville de Gaza.
Dans le rapport du Forum des médias palestiniens, il est indiqué que les sièges de plus de 100 institutions médiatiques, y compris le siège des médias dans la ville de Gaza, ont été endommagés et détruits à la suite des bombardements ciblés de l’armée israélienne.
En outre, les forces de l’armée israélienne ont ciblé et détruit tous les réseaux de communication et infrastructures Internet dans la bande de Gaza afin d’empêcher l’envoi d’informations liées à la guerre en cours dans la bande de Gaza ou de réduire la force et le pouvoir des journalistes dans l’envoi d’informations et de reportages.
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza : la painte de Reporters sans frontières contre Israël devant la Cour pénale internationale
Les crimes israéliens contre les journalistes à Gaza. Le 1er novembre dernier, alors que le nombre de journalistes tués par Israël à Gaza atteignait 34, Reporters sans frontières déposait une plainte contre ce régime devant la Cour pénale internationale et exigeait une enquête internationale sur ces assassinats.
Et ce, alors que cette organisation s’était déjà plainte auprès d’Israël de l’assassinat de huit journalistes palestiniens qui préparaient des informations lors du bombardement de zones civiles dans la bande de Gaza.
Par ailleurs, Reporters sans frontières a poursuivi Israël pour « la destruction ciblée et délibérée, en tout ou en partie, des bâtiments de plus de 50 centres d’information à Gaza ».